Quand j'allais aux éclaireurs...

Petite, j'allais aux éclaireurs de France.
J'aimais beaucoup y aller.
On chantait plein de chants, beaucoup me restent par bribes.
Ce sont de bons souvenirs.

Je vais essayer de retrouver petit à petits ces chants que j'ai appris il y a si longtemps ( de 7 à 10 ans).

Ecoutez le guitariste


Même s'il vient sur la terre
Le dernier jour des combats
Vous, les langues de vipères,
Vous ne désarmerez pas.

(Refrain)
Votre cœur est triste
De nous voir heureux
Ecoutez le guitariste
Et fermez les yeux ...
Et fermez les yeux

Laissez donc les autres faire
Leur moisson de soleil
Vous, les langues de vipères,
Mettez-vous en sommeil.

(Refrain)
Votre cœur est triste
De nous voir heureux
Ecoutez le guitariste
Et fermez les yeux...
Et fermez les yeux

Si vous voulez une guerre
Faites-la dans vos cœurs
Vous, les langues de vipères,
Laissez-nous le bonheur.

(Refrain)
Ne soyez pas tristes
De nous voir heureux
Ecoutez le guitariste
Et fermez les yeux...
Et fermez les yeux...

il court et va
parmi les champs
parmi le clan des loups
fidèle au peuple libre
qu'il suive notre loi
mené par de vieux guides
hurlant de la même voix
nous n'oublierons pas la promesse
la force du clan c'est le loup
nous n'oublierons pas la promesse
ô frère loup

CHANTONS LE FEU


Du fagot, jaillit la flamme
Chantons le feu !
Quel joli bouquet d'étoiles
Dans le ciel bleu !
Du fagot, jaillit la flamme
Chantons le feu !

Le petit âne gris

Ecoutez cette histoire
Que l'on m'a racontée
Du fond de ma mémoire
Je vais vous la chanter
Elle se passe en Provence
Au milieu des moutons
Dans le sud de la France
Au pays des santons.
Dans le sud de la France
Au pays des santons.

Quand il vint au domaine
Y avait un beau troupeau
Les étables étaient pleines
De brebis et d'agneaux
Marchant toujours en tête
Aux premières lueurs
Pour tirer sa charette
Il mettait tout son coeur.
Pour tirer sa charette
Il mettait tout son coeur.

Au temps des transhumances
Il s'en allait heureux
Remontant la Durance
Honnête et courageux
Mais un jour, de Marseille,
Des messieurs sont venus
La ferme était bien vieille
Alors on l'a vendue.
La ferme était bien vieille
Alors on l'a vendue.

Il resta-t-au village
Tout le monde l'aimait bien
Vaillant malgré son âge
Et malgré son chagrin
Image d'Evangile
Vivant d'humilité
Il se rendait utile
Auprès du cantonnier.
Il se rendait utile
Auprès du cantonnier.

Cette vie honorable
Un soir s'est terminée
Dans le fond d'une étable
Tout seul il s'est couché
Pauvre bête de somme
Il a fermé ses yeux
Abandonné des hommes
Il est mort sans adieu.
Abandonné des hommes
Il est mort sans adieu.

Lalala, lalala, la, lalala, lalala
Lalala, lalala, la, lalala, lalala
Cette chanson sans gloire
Vous racontait la vie
Vous racontait l'histoire
D'un petit âne gris.
Vous racontait l'histoire
D'un petit âne gris.

(j'ai toujours pleuré à la fin de cette chanson, ben j'ai encore la larme à l'oeil !!!)

FEU DE BOIS

Feu de bois, feu qui chante
Joli feu de bois
Feu qui chante dans le vent qui passe
Je te vois et je chante
Joli feu de bois
Et je chante, je chante, avec toi

Ma mie veux-tu ce bouquet
D'aubépine et de genêt ?
L'ai cueilli dans la bruyère
Te le donnerai.

Feu de bois, feu qui chante
Joli feu de bois
Feu qui chante dans le vent qui passe
Je te vois et je chante
Joli feu de bois
Et je chante, je chante, avec toi

Ma mie qu'as-tu … pleurer ?
Ton bouquet est tout fané.
J'en ai un de flammes claires
Te le donnerai.

Feu de bois, feu qui chante
Joli feu de bois
Feu qui chante dans le vent qui passe
Je te vois et je chante
Joli feu de bois
Et je chante, je chante, avec toi

Ma mie quand tu partiras
Et que le feu s'éteindra
Ne luira plus qu'une braise
Tu l'emporteras.

Feu de bois, feu qui chante
Joli feu de bois
Feu qui chante dans le vent qui passe
Je te vois et je chante
Joli feu de bois
Et je chante, je chante, avec toi

J O I E - J O I E- joie
Joie joie
Joie et bonne humeur sont notre loi
Loi loi
Nous ne pouvons nous passer de toi
Toi toi
J O I E - J O I E- joie
Joie joie

Je ne suis allée qu'une fois en colonie en corse avec le Prêtre, et je marchais, marchais, marchais moi qui n'avait pas de souffle, trop épuisée pour apprécier le reste.
Dans ma tête pas de chanson, dommage.